Le Combat ordinaire est le titre d’une série de bande dessinée française réalisée par Manu Larcenet, dont le premier opus a reçu le prix du meilleur album au Festival d’Angoulême en 2004.
En racontant l’histoire d’un jeune photographe de presse s’interrogeant sur ce qu’il doit faire de sa vie, l’auteur-dessinateur propose une réflexion unique sur le passage à l’âge adulte, l’amour, l’amitié, la famille, l’acceptation de soi, le rapport au monde.
Marco quitte son travail de reporter parce qu’il en a assez de photographier « des cadavres exotiques ou des gens en passe de le devenir ». Il fuit la ville, s’installe à la campagne, s’intéresse à des dockers amis de son père, atteint d’Alzheimer. Dans son voyage vers une nouvelle vie, l’accompagnent, entre autres, un chat pénible, une jeune femme vétérinaire qui va lui réclamer un peu plus de place à ses côtés, un vieux pêcheur philosophe…
Metteur en scène romand innovant, Robert Sandoz fait sortir les personnages des vignettes pour leur donner corps sur la scène. Avec tendresse, il nous invite à travers eux à reconsidérer l’importance de ces instants fugaces qui, mis bout à bout, composent une existence. Le Combat ordinaire se livre comme une radiographie émouvante et drôle des crises intimes et politiques vécues au quotidien.
Ainsi que le souligne son éditeur, ce combat « est l’oeuvre d’un auteur en état de grâce qui parvient dans une chronique douce amère, jamais intello et toujours légère, à parler de façon simple de choses très compliquées. »
Soutien
La Ville de La Chaux-de-Fonds, La Ville de Neuchâtel, Le Canton de Neuchâtel, Pro Helvetia, Corodis, La Loterie Romande, Ernst Göhner Stiftung, Pour-cent culturel Migros et Fondation culturelle BCN
La crise, qu’elle soit économique, artistique ou personnelle, est au centre du « Combat ordinaire », une bande dessinée de Manu Larcenet que la compagnie « L’outil de la ressemblance » adapte pour le théâtre. La Bibliothèque Publique d’Yverdon-les-Bains croise les regards sur ce thème par un atelier créatif destiné à un jeune public et une discussion entre le metteur en scène Robert Sandoz et le philosophe Vladimir Skrivan, responsable de « Pôle-créations » du Groupe de la Riponne.
Vous pouvez découvrir ici quelques réflexions de Robert Sandoz et Vladimir Skrivan ainsi que les œuvres réalisées par les jeunes. Ils ont d’abord discuté de ce que le mot « crise » regroupe et en ont représenté une, ce qu’il y a avant et ce qu’il y a après.
1h25 avec entracte
Fr. 40.- et Fr. 35.-
Avs, étudiants, apprentis, chômeurs : Fr. 35.- et Fr. 30.-
Etudiants, apprentis : Fr. 15.- le soir du spectacle à la caisse du théâtr
+41 (0)27 322 30 30