Après être venue présenter et jouer à Valère La Main de Leïla pour laquelle elle figure dans la liste des Molières 2018, la jeune auteure Aïda Asgharzadeh revient avec sa nouvelle pièce. Le Dernier cèdre du Liban retrace le parcours croisé d’une mère et de sa fille au terme d’une intrigue romanesque.
Abandonnée à la naissance, Eva joue les têtes dures dans un foyer pour adolescents en difficulté. Tout bascule, le jour où un notaire lui annonce le décès de sa mère et lui remet un coffret contenant quelques bandes enregistrées, laissées en héritage. Eva va très vite être happée par la voix de sa mère sur les cassettes, une voix qui l’aide à reconstituer peu à peu son histoire et à comprendre enfin les raisons de son abandon. Eva écoute fébrilement ces enregistrements, afin d’y découvrir peut-être le sens de son existence, de cette colère qui est enfouie en elle depuis toujours.
« De sa plume rageuse, ciselée, Aïda Asgharzadeh nous entraîne au plus près de ce parcours initiatique, qui mène de la haine au pardon, de l’adolescence à l’âge adulte. Un moment de théâtre intense porté par deux comédiens virtuoses. » (La Presse)
Plein tarif Fr. 45.– et Fr. 40.–
Tarif réduit Fr. 40.– et Fr. 35.–
Etudiants, apprentis Fr. 15.– le soir du spectacle à la caisse du théâtre
+41 (0)27 322 30 30