Théâtre de Valère
Philippe Soltermann découvre la musique d’Hubert-Félix Thiéfaine dans sa préadolescence. Elle ne l’a jamais quitté depuis, aiguisant ses amours et ses émotions, influençant d’une certaine manière sa plume et sa vision du monde. Comme si Thiéfaine avait écrit une chanson pour accompagner chaque moment de sa vie. Au-delà de sa musique, ce chanteur atypique, colosse aux vers d’argile, possède un style unique, gorgé de métaphores, de références littéraires, cinématographiques et poétiques. Après avoir présenté en 2017 à Valère Il faut le boire, Philippe Soltermann nous revient dans un monologue conçu comme un hommage à un artiste qu’il a toujours aimé et admiré. Avec beaucoup d’autodérision, il interroge l’irrationnel du fan qu’il est. Ce faisant, il nous transmet le virus… car il n’est jamais trop tard pour fricoter avec la poésie.
« Sur scène, Philippe Soltermann incarne un hilarant et émouvant fan qui a été électrocuté à l’âge de douze ans par l’écriture du chanteur "ça a été mon meilleur prof de français, c’est lui qui m’a donné envie de lire Rimbaud ou Apollinaire. " » (Libération)
Genre Théâtre d’aujourd’hui, Musique et émotions
Durée 1h15 sans entracte
Plein tarif Fr. 40.-
Tarif réduit Fr. 35.-
Étudiants, apprentis Fr. 15.- le soir du spectacle à la caisse du théâtre
+41 (0)27 322 30 30